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Le DSM: la saga (pas toujours reluisante) du fameux manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux. (Partie 2)





Le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) a été largement utilisé dans le domaine de la psychiatrie, mais il a également fait l'objet de plusieurs critiques au fil des années. Certaines des critiques les plus courantes comprennent :

 

Médicalisation excessive : Certains critiques soutiennent que le DSM contribue à la médicalisation excessive des problèmes de santé mentale en les considérant principalement comme des troubles médicaux, plutôt que comme des phénomènes complexes influencés par des facteurs sociaux, culturels et environnementaux.

 

Subjectivité des diagnostics : Certains diagnostics dans le DSM reposent sur des critères subjectifs, et il peut y avoir une variation importante d'un praticien à l'autre dans l'interprétation de ces critères. Cela peut entraîner des diagnostics inconsistants.

 

Surdiagnostic et surtraitement : Certains estiment que l'utilisation extensive du DSM a conduit à un surdiagnostic de certains troubles mentaux, avec des conséquences telles que la surprescription de médicaments psychotropes.

 

Influence de l'industrie pharmaceutique : Des critiques ont souligné les liens potentiels entre les révisions du DSM et l'industrie pharmaceutique, suggérant que l'expansion des catégories diagnostiques pourrait parfois être influencée par des intérêts financiers.

 

Culture et diversité : Certains critiquent le DSM pour son manque de sensibilité culturelle, soulignant que les critères diagnostiques peuvent ne pas toujours être applicables de manière équitable à des individus de différentes origines culturelles ou de genre.

 

Absence de bases biologiques : Certains estiment que le DSM manque souvent de bases biologiques solides pour de nombreux troubles mentaux, ce qui soulève des questions sur la validité de certains diagnostics.

 

Manque de spécificité : Certains critiquent le DSM pour son manque de spécificité dans la description des symptômes, ce qui pourrait conduire à des diagnostics larges et à des plans de traitement moins précis.

 

La preuve qu’il est important pour les professionnels en santé mentale de garder un esprit ouvert, curieux et empathique. Faire preuve de jugement et d’humilité lorsqu’un diagnostic est posé ou lorsqu’une personne cherche de l’aide pour y faire face.


XOX


Cet article a été rédigé avec l'aide de l'IA. Nos sources pour vérification:

  • Gornall, J. (2013). DSM-5: a fatal diagnosis?. BMJ, 346.

  • Marecek, J., & Gavey, N. (2013). DSM-5 and beyond: A critical feminist engagement with psychodiagnosis. Feminism & Psychology, 23(1), 3-9.

  • Vanheule, S. (2014). Diagnosis and the DSM: A critical review.

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